La contribution d'assistance, telle qu'elle existe aujourd'hui, ne répond pas encore suffisamment aux besoins des personnes qui la perçoivent. Agile veut que cela change.
Agile demande une mise en oeuvre conséquente d'autres recommandations émanant de l'étude sur l'évaluation des personnes dans l'assurance-invalidité.
Agile demande davantage de souplesse dans l'octroi de mesures médicales de réadaptation, en cas d'infirmité congénitale.
Selon le comité de l'ONU, il manque en Suisse une assistance généralisée, des logements accessibles, des moyens financiers et une stratégie de désinstitutionalisation.
Les personnes en situation de handicap veulent vivre une vie autodéterminée. Agile demande à la Suisse d'avancer sans tarder sur la voie de la désinstitutionnalisation.
Au lieu d'utiliser des barèmes salariaux déconnectés de la réalité pour déterminer le degré d'invalidité, Agile demande une base de calcul correspondant à la réalité des personnes atteintes dans leur santé.